#ShowYourEnergy avec Barthélemy Foubert, « l’Homme de fer » du Métier BtoT

10/08/2017

Actualité

Cet été, en tant que partenaire officiel de la candidature de Paris 2024, nous nous mettons au diapason de l’esprit sportif ! Retrouvez toutes les semaines des interviews de collaborateurs du Groupe, qui nous parlent de leur passion pour le sport.

fiche_Barthélémy_Foubert_640_FR_d0c57110-33c7-4b0d-bafc-94781e648dda

Vous êtes chef de projet BtoT et sportif au mental d’acier : comment conciliez-vous ces deux casquettes ?

Depuis l’enfance, j’ai été poussé à faire du sport par mes parents. J’ai pratiqué la course à pied, le tennis, le judo, l’escrime, la natation, le VTT, le vélo de route, le triathlon… J’ai même fait du cyclisme sur route à bon niveau jusqu’à la fin de l’adolescence, mais entre une carrière sportive et les études classiques, j’ai fait le choix des études. Aujourd’hui, je travaille au sein du Métier BtoT sur le développement de nos activités Aéroports. Mais je n’ai pas arrêté le sport, loin de là ! La pratique sportive tient toujours une place centrale dans ma vie et structure mon quotidien. Il n’est pas toujours facile de concilier vie professionnelle et sport. Planifier un Ironman* par exemple impose de jongler avec le planning professionnel, et notamment les déplacements. Il faut aussi caler les entraînements dans l’agenda… Cette organisation est primordiale.

 

Vous êtes donc un « Homme de fer » (ndlr : nom donné aux athlètes participant aux compétitions Ironman). Pouvez-vous nous en dire plus sur votre expérience de cette compétition et l’entraînement qu’elle nécessite ?

J’ai participé à un Ironman en Afrique du Sud en avril dernier. 3,8 km de natation, 180 km de vélo, 42 km de course à pied, le tout en 10h51. C’était la première expérience sur cette distance et ça m’a procuré des émotions inédites . Le paysage, l’ambiance, l’esprit de la course partagé par plus de 2 000 participants de 50 nationalités différentes… Pour cet Ironman, je me suis entraîné entre 10 et 13h par semaine. Cela peut paraître beaucoup mais pour un tel format, c’est relativement peu. Ma journée type en phase d’entraînement commence à 7h du matin : je vais nager pendant une bonne heure avant d’aller travailler, puis je vais courir soit vers 14h, soit vers 21h. Il faut surtout gérer la récupération permanente. Mon prochain objectif : courir le marathon en moins de 2h30 en avril prochain et refaire un Ironman en octobre 2018 en Malaisie en réduisant mon temps d’une heure. Un projet d’un an.

 

Vous êtes donc plutôt un sportif solitaire. Est-ce que cela vous sert dans vos missions professionnelles ?

La solitude est quelque chose dont j’ai besoin lors de mes entraînements, et elle ne me fait pas peur. Je la recherche souvent. Je me suis entrainé 5 mois tout seul, tout l’hiver, et j’ai aimé ça. Je me souviens d’une sortie solitaire à vélo de 150 km en 5h30 début mars, intégralement sous la pluie en Vallée de Chevreuse… En rentrant, j’avais l’impression d’avoir fait quelque chose de ma journée ! Dans mon travail, on s’occupe de projets assez longs qui nécessitent de rester concentré sur le long terme, sans en tirer de bénéfice immédiat. Il faut s’y habituer et persévérer malgré la difficulté, comme dans les épreuves d’endurance ou le triathlon. On est souvent récompensé.

 

Allez-vous participer au challenge ENGIE Show your energy ?

Pourquoi pas ! Je n’ai encore jamais participé à un événement sportif du Groupe.

 

Si vous étiez…

Une source d’énergie ? L’eau, un barrage hydraulique posé au milieu des montagnes.

Un métier du groupe ? Un contrat de performance énergétique. J’aime l’idée de prendre le risque pour quelqu’un d’autre et en tirer un bénéfice commun.

Un personnage célèbre ? D’Artagnan, la naïveté et la vaillance au service d’un absolu.

Une innovation ? Le tracteur : l’ubérisation des ouvriers agricoles !

Un hashtag : #archtoarc, pour plus tard**.

 

* L’Ironman est l’un des plus longs formats de la discipline. D’une distance totale de 226 kilomètres (140,6 miles), une compétition Ironman, « Homme de fer » en français, est une course multi-disciplinaire consistant à enchaîner 3,8 km de natation, 180,2 km de cyclisme puis un marathon (course à pied de 42,195 km).

** L’Enduroman, surnommée « Arch to Arc », est une épreuve de triathlon extrême qui débute de Marble Arch à Londres et se finit à l’arc de Triomphe à Paris. Elle enchaine sur plusieurs jours, une épreuve de course de fond, une de natation en eaux vives, pour finir par une étape de cyclisme sur route.