RÉSULTATS FINANCIERS AU 30 JUIN 2019

30/07/2019

Actualité

Résultats financiers solides au 30 juin – Confirmation des objectifs annuels 2019

Un premier trimestre en baisse suivi d’une amélioration significative, résultant en un premier semestre porté par les activités de gestion d’énergie et du nucléaire ainsi que par une amélioration de la performance des Solutions Clients au deuxième trimestre. Au premier semestre 2019, nous avons poursuivi notre stratégie axée sur le leadership de la transition zéro carbone, avec des progrès réalisés particulièrement dans les Renouvelables, complétés par l’acquisition de TAG dans les Infrastructures. Nous prévoyons une accélération supplémentaire de la croissance au cours du second semestre, grâce à l’amélioration des performances opérationnelles intrinsèques des principales activités du Groupe. Nous confirmons nos objectifs financiers pour 2019 en matière de résultat net récurrent part du Groupe et de ratio dette financière nette / Ebitda.

Chiffres-clés du premier semestre 2019

 

Nos temps forts du premier semestre 2019

 

  • Les activités de gestion d’énergie ont fortement contribué, portées par les renégociations de contrats gaz et les activités internationales ;
  • Le Nucléaire a été tiré par l’amélioration des prix captés et de la disponibilité après le redémarrage des sept unités de production belges ;
  • Les résultats intrinsèques des Solutions Clients se sont améliorés significativement au cours du deuxième trimestre par rapport au premier mais sont restés atypiques en raison de la dynamique de certains marchés. En outre, ces résultats ont bénéficié de one-offs de SUEZ ;
  • Les Renouvelables ont été affectés par la baisse de la production hydroélectrique en France, partiellement compensée par la mise en service de capacités éoliennes ;
  • Le Thermique a été affecté par la cession de Glow, partiellement compensée par les effets positifs des contrats long-terme de vente d’électricité en Amérique latine et la contribution positive des centrales à gaz en Australie et en Europe ;
  • Les activités Supply ont continué à souffrir principalement de la contraction des marges pour les particuliers en France ; 
  • Les Infrastructures ont été impactées par plusieurs facteurs, notamment dans le transport de gaz en France avec la fin des souscriptions sur le gazoduc Nord-Sud et la linéarisation tarifaire.
Notes de bas de page :

1. Y compris quote part du résultat net des entreprises mises en équivalence.
2. Variation organique = variation brute hors effets change et périmètre.
3. Ces objectifs et cette indication reposent sur des hypothèses de température moyenne en France, de répercussion complète des coûts d’approvisionnement sur les tarifs régulés du gaz en France, d’absence de changements comptables significatifs autres que liés à IFRS 16, d’absence de changement substantiel de réglementation et de l’environnement macro-économique, d’hypothèses de prix des commodités basées sur les conditions de marché à fin décembre 2018 pour la partie non couverte de la production, de cours de change moyens suivants pour 2019 : €/$: 1,16; €/BRL: 4,42, et ne tiennent pas compte d’impacts significatifs des cessions non encore annoncées au 28 février 2019.
4. Variations vs. H1 2018.
5. Données 2018 ajustées suite à l’application de la nouvelle norme IFRS 16.
6. i.e. hors E&P et GNL.
7. Cash flow from operations = Free Cash Flow avant Capex de maintenance.